En 2016, la professeure d’anthropologie de l’UniversitĂ© Concordia Homa Hoodfar s’est fait arrĂȘter en Iran lorsqu’elle y menait des recherches sur le fĂ©minisme et les questions de sĂ©curitĂ©. Durant les 112 jours qu’elle a passĂ©s en prison, elle a rĂ©flĂ©chi sur la libertĂ© universitaire et les facteurs menant Ă  l’incarcĂ©ration de chercheurs partout dans le monde.

Dans une discussion au CongrĂšs de sciences humaines de 2017, dont Options publiques a publiĂ© un extrait, Mme Hoodfar observe que la libertĂ© universitaire doit ĂȘtre reconnue comme un droit transnational par les gouvernements partout dans le monde, ce qui favoriserait grandement la protection des universitaires et leur contribution au bien public. Dans ce balado, elle prĂ©cise les implications d’une telle reconnaissance.

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